Voila toute et dans le titre, j'ai un pote il veu faire arabe au XIV ème siecle.
Donc je voudrais savoir l'équipement qui avais.
Merci
Donc je voudrais savoir l'équipement qui avais.
Merci
Thématique 14 - TRESORS CACHES DU MOYEN AGE - Découvertes et collections
Trésors en tous genres
Les trésors carolingiens à travers les listes d'objets
Par Claire Sonnefraud (Archiviste paléographe)
"Un trésor est caché dedans"- La recherche de trésors au Moyen Age
Par Danièle Alexandre-Bidon (EHESS, Paris)
Trésors de la Peste Noir - erratum
Par Christine Descatoire (Musée national du Moyen Age, Paris)
Trésors oubliés - Dépôts d'armes et d'armures médiévales en Syrie
Par David Nicolle (Nottingham University)
Une grotte aux merveilles dans l'Espagne musulmane
Par André Bazzana (CNRS)
Trésors monétaires
De l'intérêt des découvertes
Par Bruno Collin (numismate)
Enquête sur des monnaies très prisées - Le trésor d'Alluy (Nièvre)
Par Jean-Michel Poisson (EHESS, Lyon)
Chronique d'une invention de trésor - Le trésor d'Agios-Sozomenos (Chypre)
Par Nolwenn Lécuyer (Université de Provence)
Numismatique médiévale
La monnaie en Gaule mérovingienne
Par Benjamin Leroy (archéologue)
La monnaie sous les Carolingiens
Par Bruno Collin
Les monnaies françaises de Hugues Capet à Charles VIII
Par Bruno Collin
FURUSIYYA
CHEVALIERS EN PAYS D'ISLAM
Du 27 juin 2007 au 21 octobre 2007
PrésentationGalerie photosInformations pratiques
Collection de la Furusiyya Art Foundation
L’ambition de la collection de la Furusiyya Art Foundation – consacrée aux arts équestres dans l’islam –, dont l’Institut du monde arabe présente aujourd’hui à son public les plus beaux fleurons, consistait prioritairement à l’origine en l’acquisition de pièces anciennes, c’est-à dire antérieures au XVIe siècle. À l’époque, un tel matériel était quasiment inconnu sur le marché de l’art et ne faisait l’objet que de rares mentions dans les revues, les catalogues et les ouvrages spécialisés. Une recherche de tous les instants et des études circonstanciées ont été nécessaires à l’identification des pièces, désormais rassemblées. Il a fallu aussi, parfois, beaucoup de chance… Peu à peu, la prestigieuse collection s’est également ouverte aux pièces plus récentes, souvent admirables ; elle couvre aujourd’hui dix siècles (VIIIe-XVIIIe siècle) de production dans ce domaine.
Quant aux pièces les plus récentes de la collection (XVIIe-XVIIIe siècle), elles gardent la mémoire des modèles antérieurs et viennent témoigner de cela que l’esprit de la chevalerie a perduré bien après que se soit répandu l’usage des armes à feu ; elles se distinguent aussi par leur ornementation raffinée et le recours à des matériaux précieux.
Une telle exposition, outre qu’elle permet au public de découvrir un domaine encore peu connu, consiste à lui faire prendre conscience de la place occupée par les armes, les armures et l’équipage du chevalier dans la production générale des arts de l’islam. Plutôt que mettre en place une présentation par typologie d’armes et d’équipements, le parcours de l’exposition se trouve, bien plutôt, lié à des ensembles thématiques qui sont abordés successivement : formes et techniques de façonnage, les atours du chevalier (du combat à la parade), le recours à la protection divine, l’archerie (comme discipline d’adresse), le harnachement et les techniques de monte, les poignards comme joyaux masculins… Ménageant des ambiances particulières pour chaque ensemble, un soin tout spécial est apporté à la mise en lumière des pièces afin de souligner tant le raffinement du forgeage que du décor. Des images agrandies de miniatures issues de manuscrits islamiques viennent resituer dans leur contexte l’usage des pièces exposées.
La Furusiyya Art Foundation a lancé sa collection d'art islamique, notamment pour les pièces en rapport avec le chevalier musulman, au début des années 1980.
Son but était de réunir un matériel significatif des premiers temps de l'Islam et des premières dynasties. Aujourd'hui, la collection comprend de belles pièces des VIIIe-IXe siècles, en particulier des époques sâmânide, ghaznavide et seljuqide, jusqu'aux Xve, XVIe et XVIIe siècle. Les plus anciens pommeaux et gardes d'épée de même que les tout premiers sabres contribuent à établir une typologie des armes blanches.
La collection possède aussi des boucliers en roseau et un ensemble en rapport avec l'archerie, sans parler des armures destinées tant à l'homme qu'à son cheval. Elle est également représentative dans les domaines des poignards et des ceintures qu'arboraient les hommes de cour et les chevaliers. Ainsi, en plus de son intérêt scientifique, la collection se distingue par son corpus à la fois précieux, raffiné et esthétique.
Elle peut prétendre détenir un fonds qui ne se rencontre pas dans d'autres collections, publiques ou privées. Cet ouvrage présente quasiment la moitié des œuvres appartenant à la fondation.
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